
C’est avec un plaisir tout particulier que nous vous attendons ces 4, 5 et 6 mai pour fêter les 20 printemps des Jardins d'Aywier!
1992… les portes de l’ancienne abbaye d’Aywiers s’ouvrent pour y accueillir la première fête des plantes et du jardin. C’est l’occasion de faire découvrir au public ce lieu magique, chargé d’histoire. Très vite, les Jardins d’Aywiers deviennent le rendez-vous incontournable des professionnels du monde des jardins et de visiteurs passionnés.
Retrouvez-y comme chaque année une sélection de livres de jardinage concoctée par notre librairie .
Pour toute information complémentaire sur les modalités et les exposants :
Philippe van Meerbeeck rencontrera ses lecteurs à la librairie
le mardi 17 avril 2012 à 20h.
Il discutera avec André Wénin à propos de son dernier ouvrage,
Dieu est-il inconscient ? l'adolescence et la question de Dieu.
Présentation de l'ouvrage :
"Peut-on encore croire en Dieu dans un monde qui va si mal ?
Cette préoccupation reste chère aux jeunes car elle pose la question même du sens de la vie. Pour résister aux sirènes talibanes ou au scénario de la tuerie de Columbine, ce livre approche la quête du vrai qui est au coeur même de l’adolescence : d’où viens-je ? Où vais-je ? Qui suis-je ?
Des origines chrétiennes, fondement des droits de l’homme, jusqu’à une réflexion sur la spiritualité dans un monde désenchanté, il se concentre sur la violence, le mal et le pardon.
Devenir adulte consiste à faire le deuil du Dieu de l’enfance, à penser la différence des sexes et à désidéaliser les images parentales. Devenir soi-même passe par la rencontre amoureuse. Il s’agit d’une communion et d’une découverte trinitaire qui peuvent, inscrites dans une transmission digne de ce nom, permettre à certains jeunes d’éviter un sacrifice interdit voulu par un dieu pervers."
Une rencontre organisée par le service communal de la Lecture publique, dans le cadre de "Promenons-nous dans les mots"
"Comptines parfois subversives, éternelles ritournelles. La terre nourrit tout. Les sages et les fous" : rencontre suivie d'un drink avec Hélène Désirant, le mercredi 25 avril de 18h à 20h.
Chaque participant est invité à apporter sa comptine préférée ou une comptine inédite par écrit.
Les comptines insolites, drôles, tendres, légèrement subversives, énigmatiques, délices de l'enfance se chantonnent tout au long de la vie.
NICOLE ROLAND
KOSABURO, 1945
lecture par Geneviève Damas
au violon, Aurélie Dorzée
mise en voix de Pierre Laroche
LUNDI 7 mai à 20h15
prix des places : 6€
Renseignements et réservation : 02 245 51 87
www.albertine.be
PRIX OEDIPE 2012
Louis Sciara
pour son livre
Banlieues, pointe avancée de la clinique contemporaine (ed. Erès)
sera présent à la librairie le vendredi 11 mai à partir de 18h
La rencontre sera présentée et animée par Jean-Pierre Lebrun
M. Christian Fierens
le mardi 15 mai
à 20h30
présentera son nouvel ouvrage :
Le Discours psychanalytique
Une deuxième lecture de l'Etourdit de Lacan (ed. Erès)
La rencontre sera animée par M. Christian Centner, M. Pascal Nottet, et M. Guy Mertens.
« L'étourdit constitue sans doute le sommet de l'enseignement de Lacan. Il s'agit d'un texte d'une difficulté inouïe qui traite essentiellement du discours psychanalytique. Si dans une première lecture (2002), Christian Fierens en a proposé un commentaire mot à mot, phrase par phrase, lettre par lettre, dans cette deuxième lecture, il s'engage, avec risques et périls, dans l'interprétation du même texte, dans l'acte de dire propre au discours psychanalytique. Il le fait parler au-delà de lui-même.
Le discours psychanalytique - qui n'est pas le discours tenu par l'analyste - doit se soutenir dans le lieu de l'analyse. C'est le défi que doivent relever les « analystes ». L'analyste ne prend son ex-sistence que de là. Il ne peut tenir que la place d'objet a, d'opinion vraie, place éphémère, fragile, de semblant. Destiné à être mis de côté pour que la structure de modification puisse jouer, il n'est nullement l'absolu savoir dont se prévaut quelque pouvoir. Même s'il est mis à cette place de sujet supposé savoir (la névrose y dispose), il n'est pas cet absolu. « L'analyste déclare forfait » pour tous les rôles qu'on voudrait lui faire jouer. »