Benjamin Whitmar, trad. de l'américain
Gallmeister, 318 pp., 16€50
Nous sommes tous la somme de nos pertes [...]Rien ne s'arrête, rien ne se soigne. Et ça me va bien comme ça
Patterson Wells a perdu son fils. A la dérive, il boit pour l'oublier mais la page est impossible à tourner. Même dans sa cabane où il tente de retrouver la sérénité, l'image de son fils ne le quitte pas. Quand il rencontrera le fils de son voisin, une nouvelle amitié naitra et l'entrainera dans une spirale de violence.
Les éditions Gallmeister inaugure avec ce roman une nouvelle collection "Neo Noir". Un texte bien construit, bien écrit et qui vous prendra aux tripes.