La Gaijin House, minable pension de famille dans un vieux quartier de Tokyo n’héberge que des étrangers, la plupart étant des jeunes gens un peu flottants, entre deux vies, fuyant le réel et la vie trop crue. Ayant abandonné leur passé, cherchant leur voie (parfois au sens propre) dans ville, ces esseulés vont créer une communauté fragile. Empreint d’une douce étrangeté, un roman d’apprentissage inattendu,dans un Japon loin des clichés.
Coup de coeur de Sophie.